Wednesday, June 6, 2012

Chapitre IV. 'L'enleveur énigmatique'.

      Demain le matin commença comme d'habitude, sans compter que la prisonnière intriguée par le secret allant s'ouvrir, elle ne put pas s'endormir jusqu'à trois heures de matin. Elle se réveilla à dix heures en dormant une heure moins qu'elle avait besoin de dormir à l'âge à vingt ans. Néanmoins, cela ne l'accabla rien, plutôt au contraire. Le matin sa curiosité ternit un peu, en changeant pour agitation qui a lieu d'habitude chez enfants devant le cabinet dentaire ou la piqûre car aujourd'hui le rite matinal, comme on sait, alla durcir, conformément aux lubies du tourmenteur. Par ailleurs, elle avait assez de faire semblant d'être une jeune fille irréprochable, la nature demandait le tribut, et à la tente elle eut laissé déjà aller toutes les fantaisies, et maintenant les images érotiques des positions diverses de la copulation avec l'inconnu mystérieux entrèrent-elles dans les portes grandes ouvertes de sa conscience, et parfois dans ces images on reflétait telles choses qui n'étaient pas venues et n'avaient pas pu venir à l'esprit auparavant. Auparavant elle-même ne s'était pas attendu telle dépravation à son avis maintenant.
      L'impossibilité lire de sa pensée par les autres un peu consola Inga, néanmoins, elle eut honte un peu, et elle se sentit comme un novice dans vol qui a pénétré dans une maison d'autrui, très sûre car elle n'est pas gardée où il y a bien duquel on peut profiter et le maître de la maison séjourne dans un pays lointain. Dans cette prison verte où elle s'est trouvée par les caprices du destin, quelque chose revenait vers lui à bon droit, cela qui était ôté par le monde, mais Inga qui était bien oppressée par l'idéologie de ce monde, en examinant cela rétrocédé par la nature, cela qui devait appartenir d'elle avec juste raison, elle estimait comme objets volés par elle-même.  À part tout cela, par hasard  elle se surprit qu'au lieu frisson de peur devant la punition relativement cruelle, elle éprouva la curiosité, dans laquelle position elle serait fouettée aujourd'hui. Et elle remarqua encore qu'elle eut une envie d'être debout devant lui comme c'était hier, à genoux, le cul haut et avec cela être humiliée, piétinée, violée par manières raffinées. Encore une question l'alarma obstinément: est-ce qu'une simple passion écuma à l'intérieur ou elle devint folle?
      D'abord, le rite matinal passa comme d'habitude. mais lorsqu'il eut enfoncé l'index en elle dans l'ouverture interdite, elle se replia, en renversant la tête en arrière et poussa un cri voluptueux et long.
     -Qu'est-ce que tu as: le mal ou le plaisir. Je te rappelle que tu doives être franche avec moi.
     -Je viens d'avoir mal, - Inga mentit sans succès.
     -Tu mens, fillette de forêt!
      Inga apprit que la punition serait plus cruelle qu'elle attendait.
     -J'attends d'explication.
     -Je viens de mentir, maître professeur. Fouette-moi pour ça comme une chèvre de plus qu'est établi.
     -Je vais satisfaire ta demande, grue de forêt. Je vais ajouter encore dix à quinze projetés. Et ne me mens plus. Si tu as parlé la vérité - rien ne serait comme ça. Je sais donc que c'est agréable pour toi. Il te faudrait ajouter une vingtaine mais ces dix par-dessus, soit les seraient avec sursis, jusqu'aux blagues suivantes - alors tu recevras une trentaine. Réponds-moi: quel âge avais-tu quand tu as perdue la virginité?!
     -Quinze.
     -Qui a été avec toi?
     -Un binoclard timide du voisin immeuble.
     -As-tu beaucoup aimé cela?
     -Je m'attendais à mieux.
     -Dans laquelle position faisiez-vous l'amour?
     -Il était sur moi. Rien plus. Graduellement nous nous désintéressions réciproquement.
     -Je doute que ce soit tout.
     -Il y avait un autre. Je l'aimais plus. Mais j'avais peur qu'il en ébruite à ses amis. Il est arrivé que j'ai appris sur lui telles choses... pas une, deux choses, et la divulgation chacune d'eux aurait été envers lui de même que la mort.
     -En deux mots, qu'est-ce que c'était?
     -Premier: non loin de nous on a dépouillé un magasin d'objets manufacturés, où il participait. On a emprisonnés trois d'eux. Les flics croyaient que ce soit tous les complices, néanmoins il était le quatrième. Simplement il a eu trop de la chance et c'était un hasard. Les flics ont faits tous céder vite et en révélant les trois, ont estimé que cela est assez et cessaient de forcer. Bien par hasard, indépendamment les uns des autres, tous les trois avaient l'intention de nommer son nom à dernier tour. Petite part des objets volés est restée chez lui mais à la police on croyait qu'ils vendent à vil prix et mangent toutes les choses à temps.
     -Et la deuxième?
     -Des canailles lui ont violé pendant soûlerie à l'autre bout de Moscou, à Tchertanovo. Ici donc, parmi les racailles il fait un peu autorité, et quoique personne n'a appris rien de cela mais il s'est pendu. Sa cousine lui a débarrassé de la corde à temps, et alors il a raconté tout ça à elle seule, en déclarant qu'il se tuerait malgré tout. Elle conversait avec lui longtemps. À grand-peine elle a réussi à 'inspirer à lui qu'il tienne sa langue au chaud et alors tout ira bien et soit il même tâche d'oublier tout et se souvenir de rien.
      Un jour, en se bourrant d'une sorte de comprimés, elle en a ébruité et a été prête à ébruiter aux autres mais je l'ai empêchée. J'ai l'emmenée chez elle, puis je séjournais chez eux jusqu'à l'aube, jusqu'à l'instant où elle s'est endormie. À l'aube il est revenu de la rue et je me lui suis donnée. Comme les autres aux occasions pareilles il me jurait de l'amour jusqu'au tombeau, mais je l'ai averti que j'avais certaines informations sur le magasin et quelque chose encore. Il me menaçait de couteau, même il me le mettait sous la gorge, mais j'ai dit qu'il me ne devait que l'un: ne pas bavarder sur notre liaison. Il m'a mise plus encore, et puis nous nous voyions longtemps, jusqu'à saisir lui dans l'armée. Et cette nuit-là, du samedi, après que j'eus découché, à l'instant de retour, mon père avait l'intention de me fesser par corde à sauter, déjà en l'âge de dix-huit ans, mais la mère m'a défendue en traitant lui de perverti et d'inceste. Puis ils ne parlaient plus quelques jours.
     -Dans laquelle position tu t'as donnée à ce deuxième gars?
     -Première fois - de même, - Inga s'est troublée.
     -Et puis? Parle, grue!
      Inga rougit comme une écrevisse bouillie et prononça à voix rauque:
     -De même dans laquelle tu m'as fessée le matin, hier.
     -Est-ce tout?- Son tourmenteur demanda sévèrement.- Regarde m'en face!
     -Encore, nous essayions, il était couché sur le dos et je suis assise sur lui, on dirait, à cheval.- Inga rougit jusqu'aux oreilles.
     -En vain tu te tourmentes comme ça. Je salue les libertés.- puis lentement, en articulant chaque mot, de même il aurait émis la nouvelle de l'agence télégraphique de l'Union Soviétique sur le commencement de la guerre atomique, il ajouta:
     -VOUS N'ÊTES PAS LIBRE, SI VOUS N'ÊTES PAS LIBRE SEXUELLEMENT.
     -Toutefois. tu me désapprouves. Je me donnais au gars, en sauvant qu'il est un pédé.
     -Je m'en fiche de ce qu'on lui a mis. C'est pis qu'il n'y a que deux circonvolutions dans son cerveau. Sa cousine, quoiqu'elle est une psychopathe mais plus intelligente.- L'enleveur sourit et ajouta une phrase peu connue de Poushkin des "Scènes du temps des chevaliers":
     -Eh bien. Son tour pour la chanson, son tour pour la potence. La cravache est avec et je vais te fesser ici, - ses yeux lancèrent des éclairs diaboliques.- Néanmoins, d'abord plonge-toi dans l'eau sept fois! Surtout en cet instant où il est utile de te refroidir. Tiens, comme tu viens de rougir!
      Inga alla en rivière, fit de quoi il vient d'ordonner, puis monta le rivage. Pendant cela le malfaiteur lavait les mains.
     -Quelle pose dois-je prendre?
     -Tout comme hier: à genoux, la tête sur le sol, les mains en arrière, fermer et pas séparer, pas se mettre sur le flanc!
     -Je t'en prie, lie-moi! Et si je ne supporterai pas vingt-cinq par le fil électrique?- Inga pâlit.
     -Accoutume-toi supporter! Si tu ne commences pas à étudier quelque chose - tu n'en apprendras jamais. En se mettant en route, si tu ne fais pas les premiers pas - tu n'atteindras jamais ton but. Si tu tombes sur le flanc ou si tu te protèges, j'ajouterai les claques. Tu ne mourras pas de cela, ma belle, mais seras plus saine.
      Et quoi pit-elle à faire contre ça? En trouvant un terrain presque seul plan sur la pente escarpée du rivage, la jeune fille nue prit la pose qui fut ordonnée. Mais qui est arrivé? La peur se fut affaiblie, et au lieu d'elle un désir bien fou arriva, pour on entrerait en elle dans cette position.
      Le sifflement retentit soudain. Le bout de la houssine s'enfonça bien entre deux fesses, non loin de l'entrée interdite. L'onde voluptueuse qui l'envahi d'avant, et se fut curieusement, elle continua de coexister avec la douleur grossissante. À la deuxième fois, en ceignant les rotondités lascives, le bout de la houssine s'enfonça aux confins de la hanche et de la fesse.
     -S-s-s,- Inga siffla. Et après la claque troisième l'"aïe" très long retentit et il fut impossible d'établir la différence entre ce cri et un cri voluptueux. La douleur l'excita. Elle eut envie de sauter et de tournoyer, en dansant une certaine danse sauvage. Il y en eut donc quelque chose attrayant, mais avec chaque nouvelle claque il devint de plus en plus insupportablement et la douleur remporta la victoire définitive; après la dixième claque le premier "aïe!" éclatant retentit. Après quelques "aïe!" pareils encore la jeune fille entendit la voix de son bourreau:
     -C'est déja quinze et tout finirait, mais tu ne viens pas d'être sincère. La prochaine fois tu  ne m'oses plus mentir! Attrape, attrape! Tu ne m'oses plus mentir! Attrape, attrape!
      Après la dix-neuvième claque Inga tressaillit en sanglotant, et elle serra les doigts avec toute la force car il y eut une envie très forte d'empoigner les fesses tout fouettées et en frotter. Toute rougie, elle mordra le sol avec l'herbe, et les larmes chaudes tombèrent comme si il aurait plu.
     -C'est tout, grue. Tes souffrances ont pris fin. On peut séparer les mains.
      Inga, en continuant d'être à genoux, sépara les mains, se redressa, en frottant les fesses fouettées, puis elle essuya les larmes, cracha le sol avec l'herbe et poussa un soupir. Les mains continuèrent de tressaillir.
     -Merci pour lesson, maître professeur! Puis-je me laver?
     -Pas puis; il faut.
      Inga descendra le rivage, lava le reste d'herbe et de sol près de bouche, lava les yeux, poussa quelques soupirs et marcha à pas rapide là-haut. Son bourreau se joindra. La douleur perçante se changea en fièvre et picotement doux. Les cicatrices rouges, certaines foncées çà et là, elles avaient l'air bien marqué et ornaient à sa manière la chair assez belle et svelte de jeune fille. Inga fut forcée de nouveau à s'étonner de soi-même. Toute nue, fouettée tout à l'heure, elle eut de nouveau l'envie de se donner à cette bête et elle ne se sentait point humiliée ou malheureuse avec tout cela. Maintenant un entrain apparut aux yeux espiègles qui n'était jamais auparavant. Elle était heureuse aussi de son enleveur qui devenait plus causeur. Maintenant elle avait envie de bavarder avec lui le jour et la nuit.
     -Maître professeur. Hier tu m'as promis d'ouvrir un certain grand secret, - Inga s'adressa à lui avec animation.
     -Et est-ce que tu es prête à écouter?- Il jeta un regard à elle.- Quel c'est très bien. Toute de suite on te vient de fesser, mais en regardant en face, je vois que tu es pleine d'optimisme. J'y approuve. Néanmoins, est-ce que tu puisses écouter avec attention suffisante pour retenir, apprendre et n'oublier jamais?
     -J'espère, - répondit la jeune fille en souriant.
     -Tiens, tu as le droit d'être désaccordée avec l'opinion, je ne vais pas inspirer mes convictions à ton joli cul par cravache, mais tu dois à SAVOIR que telle manière de voir les choses existe et RETENIR le contenu. Ton obligation n'est pas d'approuver. Ton obligation est de retenir tout. Si tu ne retiens pas, je te fouetterai. Et tu sais le code de captive. Une affaire, ne pas s'acquiter d'une tâche difficile. L'autre affaire, ne pas comprendre ce qu'on a mâchée la besogne à toi. Tu auras mal d'asseoir, cela sans faute. Toute l'attention à moi, grue! - Tout à coup son ton changea d'amical et de léger celui-ci en sévère et impérieux. Puis il ajouta plus doucement:
     -Assieds-toi sur la souche et écoute.
      Elle s'assit. La souche rugueuse encore piqua les fesses nues et fouettées. Quoique Inga ne se tourmenta pas pour la punition arrivée récemment, néanmoins elle n'avait pas l'envie en répéter. Elle refléta une grande attention pour n'être pas punie plus encore.
     -La part première de cette grande vérité, elle consiste en quatre mots: LA PLUPART DE LA FOULES DE MONDE SONT STUPIDES. Qu'en dis-tu?
     -J'espère je ne serais pas punie si je parle sans détours. Est-ce que tu fasses une farce? Est-ce que ce soit un grand secret? Une fois j'ai entendu quelque chose de pareil.
     -Tout de quoi il s'agit, cela n'est que la première part qui une seule ne parle rien. Et voilà la deuxième: SELON LEUR PROPRE CHOIX. Maintenant les commentaires sont nécessaires. C'est pourquoi il faut écouter avec attention.
      Chaque personne est née comme un génie. Chacun dans quelque chose propre peut-il atteindre telles hauteurs qui sont comparables à Newton ou à Einstein. Là-bas, du premier regard il y a une contradiction: toutes les gens sont génies et toutes les gens sont idiots à la fois. Tout est là: la liberté est donnée à chaque personne: elle peut CHOISIR le chemin de génie ou le chemin d'idiot. Et enfin elle peut se jeter à l'un chemin et à l'autre ou aller longtemps selon le chemin d'idiot, puis se ressaisir et "en manœuvrant une aiguille" poser le pièd sur le chemin de génie. En quoi y a-t-il l'essence du chemin de génie? CHERCHER, chercher un riche filon à l'intérieur de l'âme, le rendement duquel serait inépuisable. Prends une radio pour exemple. Il gardera le silence jusqu'à l'instant où on la règle à certaines ondes. On CHERCHE par manivelle du règlement. Notre destination, sitôt après nous entrons dans la phase de raison de la vie, à commencer cette recherche. Le commencement de la recherche, c'est la même "pénitence". Le mot de la Grèce ancienne qui était traduit comme  "pénitence", ce mot signifie littéralement "le changement de pensée". Est-ce que tu m'écoutes, grue? Si tu oublies quelque chose, je te fesserai.
     -Raconte! C'est intéressant pour moi.
     -Si tu m'écoutes, en fait cela doit être intéressant. Puisque dans ces conditions Soviétiques il n'y a pas de place où tu aurais pu entendre cela. Aux mêmes pays libres la majorité des gens vont selon le chemin d'idiot, et quoi attendrais-tu ici? Tout revient à ce qu'on pousse violemment une personne vers la collectivité dans ce pays, pourtant à tout prix, en effet, quelqu'un profite trop de cela. Même si une fête coïncide avec samedi ou dimanche, on ne donne pas la possibilité à user beaucoup des jours de repos à la fois. On tâche de forcer tout le monde travailler ces jours supplémentaires, en payant ces jours ou en les reportant au congé. Et comment autrement? .Un homme peut rester tête à tête avec soi-même et MEDITER. S'il médite, il a bien chance de DECOUVRIR quelque chose. Si quelqu'un commence à penser par sa propre tête, il tout d'un coup devient surpassant le monde environnant d'une tête. Un homme, comment peut-il se développer, comment peut-il trouver son riche filon, ou se régler à certaines ondes, si même chez les croyants la société habite en esprit ce lieu qui ne doit être habité que par Dieu? Chacune sa démarche il vérifie par l'opinion sociale, chaque vétille routinière de la quotidienneté. Quoique en esprit, s'il s'écarte d'un millimètre du comportement généralement reçu - instantanément dans l'imagination la société éclate: des tantes, des commères, des moujiks frappant lui en face, grondant et insultant lui par les mauvais mots...
     -Mais cela dans tout le monde comme ça...
     -Comparons! Un Anglais parmi le monde, il peut jouer n'importe quel rôle, il observerait les règles généralement reçues même mieux qu'un Slave. Mais le mieux ami peut ignorer, en quels termes il est avec sa femme: ils s'aiment ou ils vont divorcer. La société est stupide dans tout le monde, mail là-bas il n'y a pas tel contrôle, il n'y a pas telle intervention dans la vie privée. Plutôt c'est une manière blâmable à fourrer son nez aux affaires d'autrui au lieu de s'occuper de ses propres problèmes. L'isolement n'est pas estimé comme quelque chose répréhensible. C'est pourquoi nous avons là-bas la société qui est plus développée sous tous les rapports, y compris dans la situation économique. C'est pourquoi là-bas la voie est frayée pour ceux qui rendaient compte de soi-même comme un individu fort.
      Quand tu faisais tes études à l'école, est-ce qu'il y avait les occasions de la persécution quelqu'un seul par les autres?
     -Oui... je m'en souviens...
     -Les autres étaient enseignés par les grandes personnes: "observe autour de toi, sois comme tout le monde!" À quoi cela a été ramené? À ce que le droit d'être soi-même est tabouisé. Comment peut-on trouver le riche filon à condition qu'il ne faut pas s'éloigner de la place ordonnée? Comment une radio peut-elle être réglée à certaines ondes à condition qu'il est interdit à tortiller la manivelle du règlement? De ce fait nous avons une société représentante l'attroupement des idiots. Un est estimé comme un intelligent, l'autre est estimé comme un sot, néanmoins ne cherche pas le peuple intelligent parmi eux: il n'est pas là. Retiens! Il ne te conseillerait personne jamais rien de sensé, et si tout à coup leur conseil se  trouvera correct, ce serait un hasard très rare, de même rare comme une grande somme de l'argent trouvée sur la route accidentellement. Il n'y a qu'une personne aux conseils de laquelle tu peus prêter l'oreille. Un seul homme sur toute la Terre.
      Inga sourit avec ironie et détacha les yeux à côté. "Il a trop haute opinion de soi. Est-ce la mégalomanie?"
     -Regarde-moi en face, grue de forêt! Dans tout la planète Terre il n'y a qu'une seule personne dont il faut prendre au sérieux ses conseils. Toute de suite tu viens de penser qui est cette personne et tu ne viens pas de deviner. CETTE PERSONNE EST TOI-MEME!
      La beauté nue, assise sur la souche fut bien saisie la bouche grande ouverte d'étonnement.

Au chapitre suivant: http://la-flagellation.blogspot.ru/2012/06/chapitre-5.html

Le texte russe original: https://www.proza.ru/2009/12/20/1217

No comments:

Post a Comment