Saturday, May 12, 2012

Chapitre III. L'enleveur énigmatique

      En passant pour verges, un sujet séduisant sur l'évasion vint chez elle à la pensée, néanmoins elle ne savait point s'orienter, et son geôlier avait assez de temps pour éclaircir cela. Le lendemain après le rapt il l'avait fessée doucement parce qu'il lui avait ordonné à cueillir des branches sèches pour faire un feu cent mètres à l'ouest, mais elle s'en était allé à l'orient au grand soleil à midi. Au jour gris elle pouvait à faire un cercle et arriver à la même place et au soleil, si prendre une seule direction, on ne sait pas quelle distance aurait-il fallu à marcher, il était possible à rester sans l'eau longtemps pendant il faisait chaud. Marcher le long de la rivière il n'était possible qu'en aval, et il l'aurait rattrapée vite, et en amont il y avait un marais spacieux où il ne pouvait pas se perdre mais perdre la chaussure à la fondrière et s'éterniser.
      Inga ne savait pas où ils se trouvaient. Elle avait été en visite chez une amie qui s'appelle Tania au village laquelle cette amie habitait pour l'été à se reposer. Dans ce village-là tous les habitants connaissent l'un l'autre, la campagne est relativement perdue et on n'a peur personne d'un intrus de loin. Alors, en se trouvant au bout du village opposé de la maison habitée par Tania et ses parents soudain elle avait eu besoin de pisser. Elle était entrée aux arbrisseaux, avait achevée l'affaire et... tout à coup quelqu'un l'avait jetée la jarretière sur cou. Une voix enrouée avait prononcé:
     -Va où je te dirai! Sinon tu n'arriveras héler, tout d'un coup la corde se serrera et je t'entraînerai sans connaissance! La résistance est inutile malgré tout! Tu seras donc plus mal!
      Ils étaient allés à peu près cinq minutes. Elle avait été toute pâle, avec la corde au cou. Puis il la avait débarrassée de la corde. Inga s'était retournée et avait vu devant elle un type inconnu, pas armoire à glace mais endurant, aspect soigné, l'âge indéterminable, quoique bien plus aîné qu'elle-même. Ses yeux expressifs avaient rayonné de joie à cause de la proie capturée avec succès.
     -Maintenant, écoute, grue!
     -Je ne suis pas ta grue!
     -Il s'agit de l'autre. Je te sais. Je sais quelle rue habites-tu à Moscou. Il y a trois fenêtres dans votre appartement, - il avait prononçée son adresse personnelle, où travaillent ses parents, quand et qui se trouvent chez soi. Il avait raconté beaucoup des autres détails, même ce que la mère l'avait fouettée à l'âge de quatorze ans en dernière fois.
     -Et quoi désires-tu de moi?! - Inga avait essayé de passer à l'offensive.
     -Il y a une bonne nouvelle et une mauvaise celle-ci. Bonne: je ne vais pas te tuer ou violer.
     -Merci, quand même, pour ça.
     -Et voici la nouvelle mauvaise: je t'enlève! Désormais, tu es sous mon pouvoir, tu es sous les ordres de moi au total. Je voudrais de te forcerai à ramper à quatre pattes, toute nue, dix kilomètres, et tu  exécuteras ça.
     -Plus souvent! Est-ce que tu veux de pine?
      La main d'inconnu dangereux avait fait un mouvement rapide comme l'éclaire. Il y avait eu un coup de sifflet. Inga avait tressailli et était arrivée à penser: "Ah, quelle sotte suis-je que je viens de mettre lui hors de soi! Il est donc un psychopathe, il va me tuer!" Quelque chose avait ceint la cuisse gauche, en sifflant, et l'avait piquée au travers fuseau. La douleur était devenue de plus en plus fort et tout de suite il y avait eu encore une claque. Inga s'était cramponnée par main le point sensible et l'avait frotté en sifflant de douleur. Elle eut appris tout de suite que cela était la fessée, pas un attentat à la vie d'elle. Il l'avait cinglée encore quand elle avait commencé à s'accroupir: une fois sur fesses, une fois sur dos. Inga avait hurlé et sauté, les yeux grands ouverts. L'inconnu l'avait empoignée ferme par la main, en disant:
     -Maintenant, je ne t'ordonne pas à ramper à quatre pattes; nous allons à pied car tu est devenu sédentaire, bedonneras et perdras la beauté, et tu est belle grue, quoique de canaille comme toutes les autres; mais chez moi tu sera comme un agneau. Toute de suite je vais enlèver ton fuseau, je viens déjà de te donne cinq coups de fouet, le reste est quatre-vingt quinze, hein?
     -Ne fais pas comme ça! C'est donc mal. S-s-s,- avait sifflé la jeune fille, en étant prête à se soumettre et en frottant le dos par la main libre.
      Il lui avait mis un bandeau noir sur les yeux, pour elle n'aura pas vu où on va et il l'avait menée longtemps, en la prévenant avec soin des mottes, des petites fosses, des branches se dirigeant en face. Ils étaient allés à pied pendant deux heures, puis le bandeau était enlevé. Le ciel était devenu couvert mais sans pluie. L'enleveur vérifiait souvent la direction à la boussole en ordonnant lui de tourner le dos chaque fois. Ils allaient très longtemps et étaient arrivés à la destination le troisième jour. Deux nuits ils couchaient à la belle étoile. Plusieurs fois encore il lui mettait le bandeau sur les yeux et il semblait trois fois d'eux traversaient-ils des certaines routes. Bien sûr ils s'étaient allés à peu près cinquante kilomètres et assez possible que maintenant il eût fallu revenir à Moscou par un autre chemin de fer, pas par celui-ci. On peut autant qu'il est possible à ratisser la forêt alentour - tout serait en vain. Et quand on s'apercevrait de l'absence d'elle et apprendrait qu'il n'y a qu'un enlèvement a lieu - ce serait très tard: il n'y a pas de chien qui serait capable de suivre les traces. -"Quel fouinard! - pensa la jeune fille. - Comme il m'a pris à l'improviste!"
      Dans le village où les bruits répandent instantanément partout, personne n'avait aperçu d'homme suspect qui la guettait sans faute plusieurs jours, peut-être plusieurs semaines. Pour le moment Inga commençait à comprendre du bout de la conscience que le proverbe "la connaissance est la force" n'est pas un son creux. En étant au territoire de l'État puissant qui avec cela aime s'ingérer dans toutes les affaires jusqu'à l'adultère et l'éducation des enfants en esprit du marxisme-léninisme, maintenant elle se trouve à l'un autre "état" complètement, où il n'est que deux personnes: il - le maître, et elle - l'esclave, laquelle qui est une fille adulte, il la fouette toujours et il l'a fait se soumettre comme une petite fillette. C'est bien qu'il n'a... Mais qu'est-il arrivé à elle? Un vague agréable fit un tour à bas au bas-ventre. Inga serpenta par les hanches et tout à coup se ressaisit. En revenant et en tendant les verges à son bourreau, elle prononça en première fois de tout son cœur sincèrement:
     -Fouette-moi sévèrement. En fait il me faut fesser vertement, - et elle ajouta à soi-même mentalement: "pour je ne voudrais pas à baiser avec ce fou!" En se tenant droit elle mit les mains au-delà de la tête et ferma les yeux. Le sifflement retentit et la verge en frappant par milieu sur cuisse droite, s'enfonça à celle-ci gauche. Les claques suivirent l'un après l'autre. Inga ouvrit les yeux qui bientôt, on dirait, virent des étoiles en plein midi, puis elle commença à bondir comme un jouet mécanique. Quand la fessée finit, elle se pencha, en frottant les éraillures, se serrant, gémissant. Il n'y eut pas de larmes. Puis elle revint à soi, se mit à genoux et dit comme d'habitude:
     -Merci pour la leçon, mon maître! Il caressa ces cheveux, joua un peu avec les oreilles.
     -Est-ce que tu as oublié qu'il y a une leçon encore aujourd'hui, c'est l'autoflagellation.
      Ah, comme elle détestait ces leçons! Il l'accoutumait à se fouetter comme une religieuse médiévale. Il exigeait trois claques du fouet en tout mais il exigeait ceux sans aucun bousillage. Il était d'usage de dix claques pour un pas assez rude celle-ci et encore il pouvait à fouetter plus douloureusement que la mère avec sa corde à sauter.
     -Aujourd'hui tu te fustigeras sur la cuisse droite. Voilà, tiens!- Il tendit à la jeune fille le même fouet de fil électrique. Inga prit l'outil de la torture à la main droite et écarta les jambes largement. Le maudit vague agréable passa à travers d'elle de nouveau. "Non! Pour cela non!" Elle se cingla à tour de bras que le milieu du fil effleura par-devant et le bout, en ayant ceint la hanche, s'enfonça derrière. Toute de suite elle se cingla à tour de bras en deuxième fois et elle laissa échapper un long "Aah" presque tout bas. Elle a eu le courage de se frapper en troisième fois. Après cela la face de la jeune fille rougit de douleur et les larmes suintèrent des yeux.
     -Tu es une gaillarde courageuse, grue! Tiens compte que ce n'est que la chair qui sent de la douleur! Cela ne te regarde point à toi-même. C'est difficilement à t'expliquer par les paroles, tu en apprendras par l'expérience. Seulement un exemple. La douleur t'écrase comme une charge lourde et tu la tâches de vaincre par ses propres forces, néanmoins tu n'a pas assez d'eux. On ne joue pas avec douleur le jeu "qui l'emportera par le poids". On en se va. Voilà les questions clefs qu'il faut se demander: 1. Qu'est-ce que c'est la douleur? 2. Comment elle me regarde?
     -Comment tu m'as fouettée pour l'évasion - toute la théorie aurait été inutilisable au total.
     -Tu l'as bien voulu, gosse polissonne! J'ai un pressentiment que nous jouerons encore aux "glapissements et sautillements", - prononça-t-il et ne put pas à cacher son transport.- Tu as de l'envie à vaincre toutes les difficultés à la fois. J'ai introduit les leçons de l'autoflagellation justement pour tu commencerais de simples choses. On n'apprend pas livres de dixième classe en premier an de l'étude. Mais parfois on peut à transformer la douleur à la joie. Bien sûr, cela dépend de l'individualité. La douleur peut avoir certaines multitudes des nuances aussi ainsi que les couleurs, les sons, les odeurs ont ceux-ci. Est-ce que tu as remarqué que la douleur est différente, par exemple, celle-ci de la verge et celle-ci de la corde à sauter?
     -En fait, la douleur est différente de la corde à sauter de maman, du ceinturon de papa, néanmoins on me fessait rarement. Cela n'y avait lieu qu'en cas hors ligne.
     -Cela n'était pas mal qu'on te fessait rarement. Mais le mal est qu'on te cessait à fesser tôt. Quoique, qui sache? Peut-être ça va pour le mieux. On ne doit punir que celui-là qui peut enseigner à quelque chose. Néanmoins je ne viens pas d'achever sur la réaction différente envers la douleur, jusqu'à la joie. Est-ce que tu sais que les flagellants espagnols se balafraient par fouets jusqu'au sang en passant dans la rue et lorsque des jeunes filles passaient au-devant d'eux, ils tâchaient que de plusieurs gouttes du sang tombassent sur les filles? Et les spartiates filles, on les fessait non seulement pour punition, mais de plus développer la sensualité aussi et parfois pendant la fessée elles avaient plusieurs orgasmes. Inga écarquillait les yeux de plus en plus d'étonnement, en regardant au narrateur bizarre.
     -Encore j'ai entendu, je ne sais pas, est-ce la vérité ou non, qu'anciennement certaines gens eussent fait cela pour réussir dans n'importe quelle affaire, elles avaient embouché un maître expérimenté à la fustigation, c'est-à-dire, un maître de cette affaire; puis elles s'étaient données déshabillée complètement et à lier et avaient crié de la douleur comme tu as crié l'autre fois et après cela elles avaient remercié et même payé l'argent. Néanmoins je ne sais pas de quoi était plus dans cette chose: de la superstition ou en fait, d'une vérité mystique. Bien sûr, tu estimes que je sois un psychopathe polard de la flagellation. Néanmoins, on ne sait pas de quoi tu seras polarde lorsque tu deviendras soi-même.
     -Je veux être comme tout le monde normal.
     -Mais alors tu serais malheureuse. La société humaine réelle n'est pas compatible avec bonheur. Jean Jacques Rousseau était juste que l'homme est malheureux dans la société. "Je me hâte de gagner à grands pas la campagne; sitôt que je vois la verdure, je commence à respirer. Faut-il s'étonner que j'aime la solitude! Je ne vois qu'animosité sur les visages des hommes, et la nature me rit toujours". Cela il avait écrit dans son livre dernier "Les rêveries du promeneur solitaire". Et ce grand homme avait eu une envie d'édifier une société heureuse sur la Terre - voilà, de quoi est sa faute tragique. En fait on trouve que les mêmes notions "le bonheur" et "la société" sont incompatibles.
     -Puis-je m'asseoir sur la souche car je suis fatiguée.
     -Assieds-toi, ma belle, j'en te permets. Seul maintenant il remarqua qu'elle bien passionna de la conversation avec lui que non seulement elle oublia à vêtir le maillot de bain, mais encore elle continua à tenir le fil électrique dans la main. Elle s'assit par fesses vraiment nues sur la souche rugueuse. On piqua dans certaines places après la fessée d'aujourd'hui. (Après cette terrible fessée-là pour l'évasion Inga n'avait pu s'asseoir ni au même jour, ni le lendemain).
     -De quoi viens-je de parler toute de suite? Inga tâcha de se rappeler en ayant peur. -Donne-moi la cravache! Inga obéit et se rappela toute de suite.
     -Tu viens de parler que le bonheur et la société sont incompatibles. Son tourmenteur enroula le fil électrique et l'accrocha vers cache-sexe par une borne speciale.
     -Je ne te fais croire pas par la force en cela. Ne fais que retenir: il existe telle opinion aussi. Je suis d'accord avec cette opinion et toi, tu pourras se persuader par ta propre expérience de suis-je juste ou non. Mais je ne te conseille pas de traîner en longueur avec l'expérimentation: alors ta vie pourrait se trouver passée en vain.
     -Mais comment peut-il être le bonheur dans la solitude? Ce n'est pas possible.
     -Le pouvoir soviétique a intimidé tout vous soi-disant un seul homme n'est que rien. Il faut être atteint de beaucoup des vérités et on peut les prouver en paroles pas toujours. Mais il arrive... que les partisans des mêmes idées trouvent l'un l'autre, où beaucoup des choses coïncident dans leurs points de vue, dans leurs penchants autant que c'est possible. L'histoire de l'humanité connaît telles grandes unions. Puis il apparaît une envie d'élargir le cercle. D'abord ils reçoivent les novices avec précaution, c'est-à-dire, en outrant son jeu; puis au contraire, en jouant son rôle non jusqu'au bout, en recevant à la communauté n'importe qui, et on va, on roule: les délateurs, les lèche-bottes, etc. Et enfin la grande union se transforme à la société banale; et la société n'est que le troupeau humain comme Rousseau avait écrit une fois. S'efforcer de créer la société heureuse, c'est la même chose que s'efforcer d'échauffer dehors en hiver, quand en fait, il faut échauffer la maison et fermer les portes solidement. D'ailleurs, tu viens d'être fatiguée, c'est trop à la fois. Autrement l'information viendrait à travers une oreille et disparaîtrait à travers l'autre,- en disant il encore tapota les oreilles d'elle.- À propos, ma belle, il sera mercrédi demain et je te fouetterai par le fil électrique, conformément au "Code de la conduite pour captive". Bon courage, grue! - le tourmenteur sourit gaiement.
      Et Inga s'excita assise sur la souche. Elle ne put pas se délivrer des sentiments agréables qui eurent inspirés par toutes les choses autour d'elle: et la souche rugueuse, et le grand air de la forêt, rafraîchissant sa chair de la fraîcheur plaisante car le soleil vient de se cacher tout de suite au-delà d'un nuage, et la voix de cet inconnu original qui en première fois eut parlé avec elle si longtemps, et la part de sa chair, bien excitée sur le slip. Soudain, elle eut envie de se donner à lui, d'être à califourchon, empalée. Et advienne que pourra! Ou s'agenouiller et se donner à lui de même comme elle s'était donnée à ses verges aujourd'hui, en s'appuyant avec la tête sur l'herbe et crier du bonheur de même comme elle eut crié de la douleur. Est-ce que le bonheur existe dans la vie terrestre? Mais qu'est-ce que dira le monde?! Mon Dieu! Elle est changée à un tel point qu'elle est assise sur la souche, toute nue, même a oublié à mettre le maillot de bain et elle est assise devant le moujik bien excité qui n'est habillé qu'en cache-sexe!
      Inga sauta debout et commença à mettre le maillot de bain. L'enleveur l'observa. Elle s'assit sur la souche de nouveau. L'envie s'en allait. Si quelqu'un vient de voir cela! Tous les deux faudrait-il enfermer à la maison de dingues - et on agirait comme ça. Mais ce que c'était si bien!
     -La société et le bonheur sont incompatibles, - Inga laissa échapper tristement d'un air pensif et une larme roula des yeux en bas qu'elle essuya vite par paume et s'accusa en esprit pour sentimentalité qu'elle n'avait pas jadis.
     -Il est possible que tu commences à comprendre quelque chose, - il se détourna en frottant le slip par-devant. Sa prisonnière remarqua cela et la vague de la volupté fit un tour à travers son corps, surtout à la part basse de la colonne vertébrale de nouveau. Soudain, il se tourna brusquement vers elle en regardant fixement en face, le transport dans les yeux.
     -Tu es déjà prête, et demain, après le rite du matin je te découvrirai la grande Vérité qui est d'actualité de tous les temps, chez tous les peuples.

Au chapitre suivant: http://la-flagellation.blogspot.ru/2012/06/chapitre-4-lenleveur-enigmatique.html

1 comment:

  1. You really make it seem so easy together with your presentation however
    I in finding this matter to be actually one
    thing that I think I might never understand.
    It kind of feels too complicated and very broad for me.

    I am having a look ahead on your next put up,
    I'll attempt to get the dangle of it!

    ReplyDelete