Saturday, May 5, 2012

Chapitre II. L'enleveur énigmatique.

     -Quelle tu es belle donc! Soit ton dos prend un peu de repos, mais quant à cette espiègle, évidemment elle vient de s'ennuyer sans quelque chose et il faut un peu jouer avec elle, - dit-il, en pinçant Inga doucement par beau milieu de la fesse droite.
     -Eh bien! Maintenant va sur le rondin! C'était leur chalet de nécessité. L'enleveur prépara de papier hygiénique. Chier dut-elle sous les yeux de lui, en regardant en face, sans droit de détacher ces yeux. Ainsi il formait en elle la sincérité, la franchise passant toutes les bornes. Elle dut à découvrir toutes les parties de la chair, toutes les profondeurs de l'âme qu'il est possible à découvrir.
      Les moustiques se réunirent peu à peu, en sentant la prise gratuite. Deux déjà la piquèrent par ses trompes à la hanche, plusieurs au dos, un en fesse, encore un à la plus intime place en provoquant le prurit insupportable. Inga fit un effort et se vida définitivement.
     -Je l'ai achevé.
      Son geôlier, comme d'habitude, ne fit fi de rien, s'approcha d'elle avec papier et l'essuya soigneusement. Inga n'eut point d'envie à s'habituer à cela et rougit de honte. Il jeta le papier sur charbonnière et alluma lui. En obéissant à la coutume de folie, Inga alla vers la rivière par sentier pratiqué où n'allait personne sauf les deux. Le malfaiteur suivit les traces d'elle.
      La rivière ruissela parallèlement d'un ruisseau se jetant dans elle avec l'eau glaciale de source. Ce ruisseau coula par fond d'un ravin profond et là-haut se trouva leur tente. Même dans la rivière l'eau fut plus froide que dans les autres rivières des alentours, car autour il y a beaucoup tels ruisseaux froids et les tous se jetent dans la même rivière. En ayant descendu la haute berge couverte par bois, Inga entra à l'eau un peu plus que jusqu'aux genoux. L'enleveur qui d'habitude n'est habillé toujours que slip de bain pendant telles actions, il entra derrière, prit du savon, en ayant quittée la boîte à savon à la berge. En ayant lavé un peu déchet de celui-ci qu'il avait failli à essuyer avec papier, ill enfonça son médius savonné à l'anus d'Inga. Elle se tordit involontairement. Il est probable que cela a été bien agréable pour elle, si la pensée des autres gens ne la jeta au rouge de la honte. Il y eut dix journées elle par son intelligence n'avait appris que telle action puisse-t-il bien à l'enflammer la volupté. Maintenant elle découvrit que son tourmenteur, on dirait, était à cran dans tels instants, mais cela on pouvait à expliquer que la fessée s'approcha et elle avait appris dès premiers jours, avec laquelle passion il la fouette. Il serait curieux de savoir pour elle, est-ce que c'est le même sadisme duquel elle n'avait entendu que d'une oreille auparavant? Ou le sadisme est quelque chose l'autre?
      Inga s'estimait comme une jeune fille qui est compétente d'une famille honnête. Elle est circonspecte, elle ne se mettrait pas au pilori et ne mettrait des bêtises. Bien sur, déjà elle n'était pas une vierge, mais elle ne manquait pas de l'intelligence et de la malice à ne pas faire une telle gaffe que quelqu'un après "cela", en indiquant à elle d'un air moqueur par doigt, raconterait à ses copains soûls comment il aurait été avec elle, de quoi il aurait fait avec elle et ainsi de suite. Comme tout le monde autour d'elle, elle était élevée sans Dieu, mais au lieu de Dieu elle avait l'opinion publique pour laquelle elle aurait pu à sacrifier tout n'importe quoi, sans hésiter. Et si un culte d'un service à l'opinion publique existerait-il (que Dieu pardonne-moi comme l'auteur), nous aurions la Sainte-Inga parmi les autres Saints. Mais dans cette forêt avec cette bête sa propre opinion d'elle-même eut été brisée à plate couture et le modèle nécessaire, tel à qui elle aurait dû être conforme, ce modèle pour le moment n'était pas déterminé. L'inquiétude relâchant de sa vie, la peur de la douleur - maintenant elles se changèrent au sentiment de sa propre infamie et de misère, qui, il est possible, surgissent chez "tantes" violés récemment à la prison. Pourtant, à la différente d'eux, elle avait la possibilité à cacher beaucoup de choses ou orner eux, alors l'opinion publique sur elle qui était pu chanceler après l'enlèvement d'elle, maintenant cette opinion pourrait revenir en équilibre de nouveau. Cela elle ne consola qu'en partie, puisque maintenant elle dut à jouer double jeu. Ce fut désagréable, car ce fut inaccoutumé et d'une manière blâmable aussi.
     -Est-ce que tu viens d'oublier?! Sept fois te plonger! Au Jéricho les murs étaient tombés de nombre "7",- répéta-t-il sa phrase habituelle.
      Inga obéit, elle se plongea sept fois à l'eau froide jusqu'au cou. Ces sept "coups" du froid la mettaient hors de soi comme sept coups de fouet mais d'une autre façon. Sur Jéricho elle n'avait entendu qu'il y avait eu un certain "tuyau de Jéricho", et elle ne savait rien encore sur ces évènements éloignés en temps. Elle se jugeait développée. Encore elle habite Moscou, presque le centre, mais chaque jour cette bête de forêt la surprenait avec son érudition par comparaison de laquelle Inga se sentait comme une sauvagesse illettrée et il n'y avait qu'une seule consolation qu'elle-même n'est pas pire que tout de monde autour d'elle. Après le bain elle se dirigea en haut.
       En arrivant à la place convenue, elle s'arrêta, se tourna vers lui et dit à voix tremblante:
     -Monsieur professeur, il me faut fesser plus souvent, en me faisant mal, pour je serais une fille obéissante. Fessez-moi s'il vous plaît, - les mots derniers-là Inga prononça presque à voix bas en ayant peur qu'il la punisse plus fort pour ça.
     -Je vais satisfaire ta prière, grue de forêt, tu vas recevoir quinze verges.
    -Quelle position faut-il prendre?
    -À genoux, à quatre pattes, la tête s'appuyer sur le sol, les mains tressées en arrière, pas séparer! Ne mets-toi pas sur le flanc - autrement je recommencerai le compte.
      Le malfaiteur sortit les verges trempées dans une flaque de forêt en agitant à l'air par eux. (Le mercredi et le vendredi une cravache de fil agitait). Inga fut déjà prête et pensa en se taisant: -Il serait mieux, qu'il me mette, le toqué misérable! Il caressa doucement le périnée avec bout de la verge, traça entre les fesses jusqu'au dos et ne traîna plus. La verge fendit l'air, une claque savoureuse... le silence... Deuxième... Troisième... -Aïe!- Inga poussa un cri perçant après celle quatrième. Maintenant ces "Aïe!" alternèrent-ils avec sanglots réservés et devinrent plus longs vers bout de la fessée. Au même bout de celle-ci elle se redressa sous l'ordre, en continuant être debout à genoux, puis elle remercia à travers les larmes pour utilité reçue. Puis elle se leva et poussa un soupir de soulagement avec joie - la souffrance eut pris fin.
      Ils se dirigèrent vers tente à deux. Inga aida à son maître d'allumer le feu, préparer le dîner, le thé. Le rite matinal de chaque jour fut fini. Maintenant on pourra se frotter par remède contre moustiques et se sentir sans souci. Quoiqu'il ait pu la fesser de nouveau pour n'importe quelle faute fortuite, ces petites punitions, quoique donc eux-mêmes elle ne puisse guère à supporter sans hurlements et larmes, mais elles ne provoquaient pas telle peur panique. Inga ne fit que maintenant attention à la beauté sombre et sévère de la forêt de sapins et de bouleaux, de la forêt qui est accidentée par ravins, pentes et côtés, la place de sorte nontypical pour région de Moscou, et le ciel à grand part couvert par couronnes des arbres, c'est lui qui était imprégné de l'azur riche, comme lavé, à la différence de celui-ci près de grandes cités.
      Il y eut beaucoup de choses de quoi l'âme se serait réjoui, mais Inga ne pouvait pas se donner la liberté de cela. On ne l'avait apprise personne qu'observer le monde pour être de même comme toutes les gens, tâcher que ne se distinguer pas des autres. Les comptoirs livresques étaient encombrés par bavardage communiste et dithyrambes chantés à l'adresse de la "Mère-patrie", de Lenin et du parti communiste. Il n'était pas possible d'acheter la plus innocence belles-lettres par rapport à la politique, quoique un peu sensée, libre de la propagande officielle. C'était le déficit qui en étant vendu sous le manteau, coûtait dix fois plus cher de son prix réel. Et d'où pouvait cette pauvre jeune fille d'apprendre le conseil précieux de Karnegui: "si la vie a préparé un limon pour toi - fais de limonade de lui!". On n'en voit pas la couleur ni Karnegui, ni l'autres. On n'entend personne de lui. L'enleveur énigmatique surveilla la jeune fille, en faisant semblant de s'occuper d'une affaire.
     -Retiens! - retenti sa voix. Inga jeta un regard.- Retiens! Il n'y a aucun critère objectif de l'attitude juste à l'égard de la vie. Cette attitude, dont n'importe qui se sent heureux - elle est juste. Cette attitude à l'égard de la vie, dont un être humain se sent malheureux - elle n'est pas juste. Retiens cela! Je questionnerai. Tu as le droit de n'être pas d'accord, mais retiens! IL N'EST QUE L'ATTITUDE JUSTE A L'EGARD DE LA VIE TE FERA HEUREUSE.
     -Est-ce que tu crois que je peux être heureuse ici?
     -En réalité tu ne peux être heureuse qu'ici. Est-ce que tu retiens, je t'ai dit que tu étais mort depuis longtemps? Dans la vie que tu as vécue, il n'y a point de bonheur. Telle vie n'est pas mieux que la mort. Regarde aux femmes qui ont quarante ans! Si tu passeras leur chemin, tu arriveras là-bas où elles sont arrivées. En effet, à l'âge de quarante ans on peut aimer et être aimé de même comme à l'âge de vingt. Mais elles se sont enterrées déja. Elles ont renoncé à tout. Ont renoncé à tout en prononçant la phrase banale: "Nous n'avons besoin de rien" et même elles tentent de braver par cela.
     -Tout le monde vit comme ça.
     -Elles ne vivent pas, elles mangent de la poubelle. Il ne faut pas discuter. Il faut essayer un, essayer l'autre. Ainsi tôt ou tard la vérité même se découvrira.
      Son geôlier devenait de plus en plus causeur. Cette fois il se passionna jusqu'à tel degré, si quelqu'un aurait apparu, de loin il aurait cru que ce soient des touristes avec magnétophone qui écoutent les chansons de Vysotsky.
     -Eh bien, ma belle. Nous nous mettons au travail. Quitte le maillot de bain et assieds-toi à talons! Reste immobile pendant dix minutes! Puis les asanas d'étirement auront lieu.
       Inga exécuta les exercices irréprochablement qui fut inattendu même pour lui. Au bout de l'exécution elle se coucha sur le dos, se détendit et dormit pendant deux minutes. Dans demi-heure il l'appela.
     -Holà, fille! Voilà, un problème mathématique pour toi. Prends le stylo, le cahier, néanmoins d'abord écris ce qu'il faut!
       En effet il fallut à écrire sept fois: "Sois studieuse, ô fille, pour on ne te fesserait pas!" Bien sûr, Inga réussissait à l'être assez studieuse non chaque fois. Petites punitions suivantes après ses fautes toute de suite, maintenant elles provoquaient chez elle pas une certaine peur mais de quelque sorte aversion de la même intensité comme n'importe quelles procédures médicales désagréables, quelque chose de pareil à la piqûre douloureuse ou au lavage d'une blessure ou aux autres choses pareilles. Lorsque la phrase rituelle fut achevée, l'enleveur parla tout de suite:
     -Toute attention à moi! Nous avons un segment avec un point au beau milieu. Nommons ce point "un centre". Nommons le segment "une sphère unidimensionnelle". Inga jeta un coup d'œil à lui. -Tu as envie à se convaincre soit je viens de dérailler, soit non? D'abord, écoute jusqu'à bout, puis résoudras, si tu n'a pas d'envie être fessée de nouveau, et seulement après tout cela tu tireras une conclusion. Si j'aurais déraillé, il n'aurait aucune de résolution, mais j'en ai dans la poche, écrit sur papier, achevée, et quant à toi, tu vas faire une découverte de celui qui était découvert depuis longtemps. Ainsi, le volume-1 de la sphère unidimensionnelle est égal 2R. Prenons une sphère en deux dimensions - c'est le cercle. Le volume-2 de la sphère en deux dimensions est égal...- Il regarda à Inga interrogativement...
     -Pi R au carré - c'est le volume-2, c'est-à-dire, l'aire d'un cercle, - Inga répondit volontiers, en s'engageant au jeu et en se rejouant de sa promptitude. Il voulut à répondre avec l'ironie: "Grue, s'est tu qui est perspicace", mais il se reprit à temps, en comprenant tout de suite qu'il ne faudrait pas assombrir son intérêt s'éveillant aux mathématiques.
     -C'est juste! Et le volume-3, c'est-à-dire, le volume de la sphère ordinaire est 4/3 pi R au cube. Voilà, grue, en mathématiques on peut agir ne seulement pas dans trois dimensions, mais dans quatre, cinq et plus celles, jusqu'à l'infini. C'est dans le monde physique où nous ne savons pas les dimensions plus que trois, et nous ne savons que tracer trois directions perpendiculaires réciproquement. En revanche dans les mathématiques on peut vérifier tous les calculs des solides multidimensionnels. Tout coïncide - cela signifie que la théorie est valide. Maintenant, voilà: déduis la formule du volume-4 de la sphère à quatre dimensions! Je te donne une demi-heure pour ça.
      Inga s'inclina au cahier, en tira la feuille ébauchée, tourna la page pour que ne pas voir ces mots: "pour on ne te fesserait pas" - il est assez possible qu'il se passerait comme ça. Elle se plongea au travail. Toute une demi-heure en s'émouvant comme à l'examen, chercha-t-elle une régularité parmi les trois formules connues de l'école, mais ne réussit pas à la trouver. Elle aperçut que cet homme étrange fut debout derrière et regarda au brouillon où le course de ses pensées fut exprimé en processus de la recherche fiévreuse. Inga se retourna. Son tourmenteur debout tint à la main droite un morceau de papier où il était écrit gros et joliment: V4=1/2π2R4.
     -De quoi on t'apprenait à l'institut? Tu as achevé donc un cours. Vous toutes êtes arrivées jusqu'aux équations différentielles qui sont compliquées au bout et cela n'est que l'intégration simple, pas compliquée. Eh bien, regarde: la longueur d'un segment est une somme intégrale des points, l'aire d'un cercle n'est que la somme intégrale des cordes parallèles, y compris le diamètre; le volume d'une sphère c'est la somme intégrale des cercles qui sont formés d'intersection la sphère avec plans parallèles, y compris le grand cercle. Et enfin, ma fille, le volume-4 d'une hypersphere à quatre dimensions n'est que la somme intégrale des sphères. Puis c'est les calculs qui ont lieu. Maintenant tu sais qu'il faut faire, tout de même je vais souffler. Il prit d'Inga le stylo, le cahier, fit tous les calculs nécessaires qui eurent réduit déjà au résultat connu.
     -Qu'est-ce que tu as donc à dire?
     -On me doit fesser, - et ajouta d'une voix basse: Comme il faut.
     -Je vais satisfaire ta prière, grue de forêt.
     -Quelle pose dois-je à prendre?
     -Enlève le maillot de bain! Tu seras debout droite, les mains au-delà de la tête, on peut crier et sauter, il est défendu de s'accroupir et de séparer les mains. Il est défendu de se pencher trop. Apporte les verges. Je te fouetterai sur les hanches, par-devant, dix fois. Inga se mit à nu de nouveau. Elle eut envie de pleurer par dépit de la stupidité au cours de la solution du problème. On ne sait pourquoi elle ne sentit pas de la peur. Au lieu de celle-ci il y avait un sentiment désagréable, le sentiment de quelqu'un qui est le dindon de la farce.

Au chapitre suivant: http://la-flagellation.blogspot.ru/2012/05/chapitre-3-lenleveur-enigmatique.html

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